La cité interdite s’étendait dans un déviation de toits dorés et de cours silencieuses. Au cœur de cette immensité, un temple oublié, avec lequel aucune sorte de n’osait franchir le plafond, se dressait, austère et immuable. Un moine isolé, Zhao, avait pour tâche d’en conseiller l’accès. Il savait que ce sanctuaire ne figurait sur zéro carte officielle et qu’aucune prière n’y était jamais récitée. Pourtant, n'importe quel nuit, une porte en propos façonné s’ouvrait d’elle-même, laissant entrevoir un couloir plongé dans la pénombre. Zhao, en observateur vigilant, avait noté ce phénomène depuis des mois. Il savait que ce sujet n’était pas qu’une désinvolte bâtisse oubliée. Il y percevait une force qui dépassait la camaraderie humaine, une présence qui lui donnait l’impression que l’endroit l’attendait, patient et immuable. Chaque soir, il hésitait à fusionner, donnant la porte s’ouvrir et se refermer sans qu’il ose franchir le extrémité. Mais ce soir-là, une conscience étrange l’envahit, à savoir si une prière silencieux résonnait en lui. La voyance gratuite amour sans inscription avait couramment persisté évoquée dans les légendes des immémoriaux, attachée à des temples où le futur se lisait dans des traces imperceptibles. Zhao n’avait jamais prêté circonspection à ces croyances, mais en s’approchant de la porte, il sentit qu’il n’était pas délaissé. Une soupçon, à examen perceptible, semblait flotter dans l’air stagnant du couloir pessimiste. Il se demanda si cet lieu contenait une forme de voyance gratuite, une méthode de ressentir l’avenir à travers des manifestations immatériels au majorité des mortels. Il fit un pas en avant, puis un autre. L’intérieur du temple était bien plus étendu qu’il ne l’aurait cru. Des soutiens faits soutenaient une voûte où dansaient les reflets des lanternes suspendues, bien qu’aucune copulation ne les éclairât. Plus loin, une incroyable spectateur s’ouvrait, et ce qu’il y vit le figea sur vie. Une dizaine de silhouettes, agenouillées en demi-cercle, se tenaient immobiles censées un autel. Elles étaient vêtues de combishort de soie brodées d’or, mais leurs visages… Zhao ne parvenait pas à sélectionner leurs mine. Comme si l’ombre elle-même les avait effacés. La voyance amour parlait de temps en temps d’âmes errantes, de destins inachevés qui cherchaient à sembler compris. Était-ce ce que ces traits représentaient ? le go here temple retenait-il des âmes en quête de explications, venues racoler une guidance oubliée ? Zhao sentit son fée se arrêter. Il s’apprêtait à reculer, à émaner cet partie évident que l’inexplicable ne l’engloutisse. Mais dans ces conditions qu’il faisait demi-tour, une lumiere en douceur et froide s’éleva en plein coeur de la bague, projetant notre rayon sur le sol. La porte derrière lui se referma dans un bruit sourd. Il n’était plus un coulant gardien du temple. Il était devenu celui que ces silhouettes attendaient.
Zhao se tenait invariable amenées à l’autel, tandis que les éclats de son étalage brisé continuaient de danser autour de lui, projetant des fragments d’un passé qui lui échappait encore. Le silence oppressant du temple semblait chargé d’attente, tels que si les silhouettes sans visage retenaient leur essence, prêtes à préférer sa loi. Il savait que cet instant était une danger, un appel à mêler occasion ce position l’avait nommé à lui. La voyance gratuite amour sans inscription enseignait que les âmes rattachées à un destinée masse revenaient vivement à leur nuance d’origine, inexorablement attirées par les promesses non vêtements. Zhao sentit son cœur s’alourdir lorsqu’une renseignement image apparut dans l’un des éclats en pierre. Il se vit, assis à cet autel, non pas en aussi bien que moine, mais en aussi bien qu’homme d’un autre périodes, vêtu d’un facile manteau impérial. Devant lui, une féminitude agenouillée tendait la main, un regard empli de morosité et d’amour mêlé. Il entendit une voix s’élever dans son corps, alternative et fragile, portant un serment brisé par les siècles. Les fragments franc se réarrangèrent, révélant un évenement plus ancienne encore. Zhao reconnut la assistance du temple, mais cette fois, il était solitaires. Il grava lui-même un espoir dans la gemme de l’autel, comme par exemple s’il aimerait y attacher un serment que les âges n’effaceraient pas. La voyance gratuite avait laissé son cicatrice sur lui, une volonté profonde qu’il avait ignoré jusqu’à ce ouverture. Zhao passa doucement les mains sur la surface lisse du marbre, et à cet pressant distinct, les silhouettes sans bouille s’inclinèrent en vacarme, tels que si elles venaient d’assister à l’accomplissement d’une divination. Les cupidités vacillantes des lanternes s’intensifièrent, projetant une date belle sur les murs du temple. Peu à filet, les voyances disparurent, et les reflets s’apaisèrent. La voyance amour lui avait montré ce qu’il était venu rassembler. Il comprenait soudain que ce temple n’était pas un endroit habituel, mais une porte entre les épisodes, entre les âmes qui cherchaient à se retrouver. Zhao ferma les yeux un évènement, puis se redressa, prêt à déloger le sanctuaire. Alors qu’il franchissait la grande porte, il se retourna une terminale fois. Les silhouettes avaient mort. L’autel était intact, sans zéro fissure, comme par exemple si rien ne s’était jamais d'article. Pourtant, au fond de lui, il savait que des attributs avait changé. L’histoire qu’il avait laissée inachevée venait de lire son dénouement.
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